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    Les Farc confirment la présence d'Emmanuel à Bogota

     



    Dans un communiqué diffusé par l'Agence bolivarienne de presse (ABP), les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) ont reconnu vendredi que l'enfant recueilli en 2005 par une institution colombienne est bien Emmanuel, le fils de Clara Rojas, capturée par la guérilla avec Ingrid Betancourt.
    L'enfant "ne pouvait pas rester au milieu d'opérations de guerre, de bombardements et de combats, en mouvement permanent et dans les contingences de la jungle", annonce la guérilla marxiste.
    "C'est pourquoi cet enfant, dont le père est un guérillero, a été placé à Bogota chez d'honnêtes gens , en 2005 jusqu'à ce que soit signé un accord humanitaire", ajoute le texte daté du 2 janvier et signé par son organe dirigeant.

     

     

     

    Tentative des Farc de récupérer l'enfant

     

     


    Selon les informations fournies par les autorités colombiennes, l'enfant, souffrant de "dénutrition, de paludisme, de diarrhées et d'une fracture de l'humérus", a été amené le 15 juin 2005 à l'hôpital de San Jose del Guaviare, à 300 km au sud-est de Bogota, par un homme, José Crisanto Gomez, qui s'est présenté comme son oncle. Les Farc auraient tenté de le reprendre le 28 décembre.
    Avant même l'aveu des Farc, la famille de Clara Rojas était déjà convaincue que l'enfant était bien Emmanuel.

     

     

     

     

    Les Farc avouent leur mensonge, ils n’ont pas Emmanuel

     

     

     

    Après les révélations faites hier par les autorités colombiennes sur les résultats des tests ADN faits sur un garçonnet "Juan David", il demeure clair qu’il s’agit du petit Emmanuel, le fils de Clara Rojas. Cette dernière est détenue par les Farc. Pour leur part les membres de la guérilla avouent ne pas détenir le petit Emmanuel, contrairement aux promesses de libération précédemment faites.

     

     

     

     

    Au départ, avec pompe médiatique, les Farc, qui selon le président Chavez disent toujours la vérité, afffirmations reprises par d’autres, devaient libérer, selon leur promesse de la mi-décembre les personnes suivantes : Clara Rojas, une ancienne sénatrice colombienne : Consuelo Gonzales, et le petit garçon de C. Rojas, Emmanuel.

     

    Mais le président Uribe n’avait pas intérêt à envoyer l’armée dans la jungle, lui savait que dans un orphelinat, le petit Emmanuel, fils de Clara Rojas était libre. Il fallait que l’opération aille jusqu’au bout, il devait démasquer la perfidie des farc et prouver qu’ils sont indignes de confiance.

     

     

     

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    La detresse d'une mere, separée de son fils, la peur, la souffrance d'un enfant, separé de son fils,

     

    qui en parle....

     

    Pourquoi avoir attendu plus de 2 ans pour parler de cet enfant......

     

    Pourquoi, ne pas avoir confier cet enfant à sa famille, à ses grand parents....

     

    Pourquoi tout le monde ment-il ?

     

    Qui se soucie vraiment des ces otages...........

     

    Qui.........

     

     

     

     


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