Creer.... pour ne pas durer...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Elle qui ne devait durer qu'un temps, est malheureusement dans l'obligation d'être toujours active. Il est également à l'origine d'une loi (dite « Loi Coluche »), votée en 1988, qui permet à un donateur de déduire une partie de son don de ses impôts.

 

Mais la misère persiste et

s'agrave et les besoins sont immenses...

 

 

Aujourd'hui, les Restos représentés sur le terrain par 45 000 bénévoles

distribuent plus de 65 millions de repas par an et viennent en aide à quelques

 

630 000 personnes.

 

 

 

Historique

 

 

En février 1986, Coluche plaide la cause des Restos devant le Parlement européen après avoir constaté que les surplus coûtent plus cher à stocker qu'à distribuer gratuitement aux pauvres ;

 Il est entendu et les stocks sont ouverts en 1987 à quatre associations, dont les Restos du Cœur (et la Banque alimentaire cofondée en France par son ami l’abbé Pierre en 1984 avec la Croix-Rouge française, et le Secours populaire français).

 

 

Toutefois, encore en 2006, la question de l’accès aux stocks européens n’est pas encore définitive, des groupes représentant des sociétés agro-alimentaires et distributeurs ayant tenté de faire pression avec l’Organisation mondiale du commerce, pour que cette redistribution soit plus encadrée et limitée, voire supprimée du règlement européen et prise en charge par les budgets sociaux nationaux et collectivités locales.

 

De fait, la quantité des surplus alimentaires détruits s’est à nouveau accrue, au grand dam des associations caritatives dont les besoins n’ont fait que croître depuis 20 ans pratiquement partout en Europe, en même temps que les subventions publiques se sont de plus en plus taries, ou n'ont pas autant suivi l’évolution constante des besoins.

 

Aussi, plus que jamais, le slogan

 

« On compte sur vous »

 

des Restos reste d’actualité

 

 

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En France, en 2005, le seuil de pauvreté relative varie en fonction du type de ménage

 ; pour une personne seule, il est de 681 euros (seuil à 50 %)

 

. Pour un couple avec deux enfants de plus de 14 ans, le seuil (comme somme des revenus du couple) est de 1 703 euros.

 

7,13 millions de personnes (12,1 % de la population) vivaient sous le seuil de pauvreté .

La population la plus concernée par la pauvreté est la tranche 15–24 ans, avec un taux de 10 % en 2000

. Les personnes âgées sont les moins concernées, avec toutefois, une remontée du taux de pauvreté après 80 ans^[2].

 

 

 

Quel que soit le mode de calcul adopté, aujourd'hui en France, environ une personne sur dix vit en-dessous du seuil de pauvreté.

 

 

 

 

 

 

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Oserai-je une touche d'humour......